CNCPH : ​Continuation de la quête torturante pour savoir communiquer avec le CNCPH – Maltraitance institutionnelle

 

 

Ce n’est pas tout le monde qui utilise Twitter, de plus il n’est pas envisageable de participer à un événement qui est annoncé sur Twitter seulement quelques heures avant son commencement (à notre connaissance).
C’est très peu accessible.

 

Pourquoi ne pas faire comme presque toutes les entités publiques ou privées non-françaises, c’est-à dire utiliser des listes de diffusion par courriel, et cela en temps utile bien sûr ?
(A moins que cela n’existe déjà mais que notre exclusion manifeste et “de fait” nous empêche de le savoir ?)

 

 

En juin dernier, Madame Céline Poulet du CIH nous a dit que vous étiez intéressé par un dialogue. 

Pourtant, rien n’a changé et vous ne nous répondez jamais…
Comment est-ce que cela pourrait ne pas être “perdifiant” ou torturant ?

 

On se tue en tentatives, des plus “diplomatiques” aux moins orthodoxes pour tenter de trouver comment parvenir à ce dialogue (notamment afin de respecter l’article 4.3 de la CDPH, et aussi l’article 1er de la loi 2005-102), mais rien ne fonctionne jamais.

Nous ne sommes vraiment pas frappés par d’éventuels aménagements de la part du CNCPH en matière de communication (c’est à dire pour diminuer notre handicap).
Au contraire, on ne voit que des obstacles, des barrières, des murs froids.

 

Est-ce que nous vous avons fait quelque chose qui mérite ce traitement maltraitant ?
Avons nous déplu, “offensé” par inadvertance, peut-être ?
Et devons-nous nous débrouiller tout seuls pour le deviner ?

 

Las de ces maltraitances de l’exclusion, du mutisme et du “ghosting”, veuillez croire, Monsieur le Président, Monsieur Jérémy Boroy, à l’assurance de notre très respectueux écoeurement.